Région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

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Le Saguenay–Lac-Saint-Jean est l'une des dix-sept régions administratives du Québec, située sur la rive nord du Saint-Laurent. Elle est composée de quatre municipalités régionales de comté (MRC) et de 49 municipalités locales.

Le Saguenay–Lac-Saint-Jean est la troisième plus grande division territoriale québécoise avec une superficie de 95 893 km². Malgré son étendue, on retrouve principalement les 273 461 saguenéens et jeannois dans une immense dépression du bouclier canadien, le long de la rivière Saguenay et autour du Lac Saint-Jean. La forêt et surtout l’eau sont les principales ressources naturelles de la région.


Habitée au départ par les Montagnais, la région, exploitée par les premiers Européens (français et anglais) pour commerce des fourrures au xviie siècle et xviiie siècle, fut ouverte à la colonisation au cours du xixe siècle. L’installation de scierie et l’exploitation du bois pour la pulpe, puis le papier permirent le développement économique de la région au début du xxe siècle. Au cours des années 1920, les principaux cours d’eau sont harnachés pour la production électrique qui mèneront à l’implantation d’alumineries. Celles-ci stimuleront la croissance démographique et économique de la région qui deviendra un pôle industriel important du Québec.


Elle couvre une superficie équivalente à la Corée du Sud, l'Indiana ou de plus de trois fois la Belgique. Sur une carte, les limites du territoire prennent la forme d'un cerf-volant inversé ( 550 kilomètres du nord au sud et 330 kilomètres d'est en ouest) et correspondent pratiquement au bassin hydrographique de la rivière Saguenay. Au nord-est on retrouve la Côte-Nord; au nord-ouest; le Nord-du-Québec au sud-ouest; la Mauricie et au sud-est; la région de la Capitale-Nationale. Son découpage administratif a lieu le 29 mars 1966 avec la création des région administrative du Québec
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Histoire sur le Saguenay-Lac-Saint-Jean

Pour qu’un premier explorateur pose le pied sur l’actuel territoire de Chicoutimi, il faut attendre le père Jean Dequen qui, à la demande des tribus du Piekouagami (lac Saint-Jean) atteintes d’une épidémie dévastatrice, emprunte la rivière Chicoutimi pour atteindre le Lac Kénogami puis le Lac Saint-Jean du 11 au 16 juillet 1647.

En mai 1652 le commerce des fourrures une épidémie perdure toujours et force l’établissement d’une mission au lac Saint-Jean par les Jésuites qui utilisent la même route que le père Jean Dequen pour se rendre à destination. Selon leurs récits, plusieurs sépultures amérindiennes jonchent alors les rives du Saguenay du fait des ravages importants de l’épidémie. Les missionnaires empruntent cette route jusqu’en 1671 pour venir en aide aux tribus victimes de l'épidémie et de la guerre contre les Iroquois.


La première mention du nom Chicoutimi remonterait à cette époque. En l’an 1661, on pouvait lire dans La Relation du Père Gabriel Bruillet et Claude Dablond « Chicoutimi, lieu remarquable pour être le terme de la belle navigation et le commencement des portages. »


Dès 1526, les premiers morutiers et baleiniers européens naviguent dans le golfe du Saint-Laurent et jettent l'ancre aux alentours de Tadoussac bien avant le premier établissement permanent érigé en 1550. Le 1er septembre 1535, au cours de son deuxième voyage, Jacques Cartier découvre officiellement le Fjord du Saguenay en mouillant la Grande Hermine, la Petite Hermine et l'Émérillon à Tadoussac, lieu situé à l'embouchure de la rivière. Les Amérindiens qu'il avait amenés en France suite à son premier voyage en 1534, Taignoagni et Domagaya, lui avait déjà parlé du Royaume du Saguenay, Donnacona, le chef de Stadaconé, confirmera également ces dires lors de sa visite à François Ier en 1536 : « [Un] royaume appelé Saguenay, où les gens étaient habillés comme en France et où se trouvais des mines de cuivre rouge.


C'est Jacques Cartier qui baptise la rivière Saguenay, le nom donné par les nations autochtones est Pitchitaouichetz. Venu avec le sieur de Roberval en 1542, le pilote Jean Alfonce entreprend d'explorer l'entrée du fjord du Saguenay. La force du courant, qui l'empêche de se rendre bien loin, lui laisse croire que la rivière pourrait être un bras de mer vers l'océan Pacifique


Malgré le fort achalandage d'Européens à son embouchure, la rivière Saguenay et son bassin demeurent un mystère pour ces marchands qui concluent entre 1560 et 1565 une entente avec les Kakouchack pour établir une chasse gardée au Saguenay contre un approvisionnement en peaux à Tadoussac.


Cette chasse gardée retardera toute exploration supplémentaire de la région avant l'arrivée de Samuel de Champlain au début du xviie siècle. En 1600, le roi Henri IV change les pratiques commerciales à Tadoussac et offre le monopole de traite à un certain Pierre Chauvin qui, en échange de cette faveur du roi, doit amener de France et implanter 50 colons par année. Chauvin décide d'implanter le peuplement à Tadoussac, cet endroit est décrit plus tard par Samuel de Champlain comme « le lieu le plus désagréable et le plus infructueux qui soit en ce pays ». La première année sera désastreuse pour Chauvin ; l'hiver canadien viendra à bout de 13 des 16 colons français établis sur place. La colonisation est abandonnée dès 1601. Chauvin décède en 1603 suite à son dernier voyage au Saguenay


Le monopole d'exploitation de Tadoussac et ses alentours est accordé à Aymar de Chaste en 1603 qui charge Samuel de Champlain d'explorer le territoire et de lui rapporter le plus d'informations possibles. L'explorateur mouille son bateau la Bonne-Renommée à Tadoussac le 24 mai 1603 et conclut un traité d'alliance, le premier de Nouvelle-France, avec les Innus et leur chef, le grand sagamo Anadabijou, sur la Pointe-aux-Alouettes à Baie Ste-Catherine, situé sur l'autre rive de l'embouchure du Saguenay le 27 mai 1603. Le 11 juin 1603, Samuel de Champlain pénètre de 40 à 50 kilomètres dans le fjord du Saguenay. N'y trouvant pas d'endroit propice à la colonisation, il rebrousse chemin. Il retournera en France le 16 août après avoir exploré le fleuve Saint-Laurent. Aymar de Chaste décède la même année et le monopole est accordé à Pierre Dugua de Mons jusqu'en 1607, année où le monopole est levé jusqu'en 1614.


La colonisation sera perturbée jusqu'en 1632, année de la reprise du territoire par la France. Tadoussac sera de plus en plus délaissé au profit de Québec après la reprise de la colonisation.Il faut attendre jusqu'au 11 juin 1838 pour voir arriver les premiers pionniers sont venus de Charlevoix pour s'installer à Grande-Baie ou baie des Ha Ha aujourd'hui.


Les premières tentatives de harnacher la rivière Saguenay remontent au début du siècle alors que Thomas H. Wilson achète le réservoir en aval de Chute-à-Caron en 1901 et L. T. Haggin achète les terres en bordure de l’Isle-Maligne. Le reste de la rivière entre ces deux points revient à Benjamin A. Scott, un entrepreneur de Chicoutimi qui gère une scierie à Roberval. Malgré l’acquisition des droits par ces industriels, aucun projet de barrage hydroélectrique ne sera concrétisé avant l’arrivée du géant du tabac James Buchanan Duke45. Ce dernier acquiert les droits de la rivière suite à une visite en 1912 du Saguenay en aval de Chicoutimi jusqu’à Alma. La Première Guerre mondiale éclate en 1914 et retarde ses projets de barrages hydroélectriques.


Peu après la guerre, alors que l’industrie de la pulpe s’affaiblit dans les années 1920 pour être abandonnée ou complètement remplacée par la production papetière dans les années 1930.


En 1925,Alcoa devient propriétaire des droits d'exploitation de la rivière Saguenay et entreprend, dès le 24 juillet 1925, la construction de la ville industrielle d'Arvida. En 1926, la compagnie se porte acquéreur de la Compagnie de Chemin de fer Roberval-Saguenay et des installations portuaires et ferroviaires de Port-Alfred suite à la liquidation de la Compagnie de Pulpe de Chicoutimi et ses infrastructures. Le 26 juillet de la même année, les cuves de l'usine d'Arvida débutent la production d'aluminium.


Maintenant vous pouvez jouer du jeu vidéo d'information sur les 175ièmes du Saguenay-Lac-Saint-Jean.


Le Saguenay-Lac-Saint-Jean et de la motoneige
Le Saguenay-Lac-Saint-Jean vu du ciel c'est encore plus géant. Des paysages immenses, un relief majestueux tout y est magnifique.

Découvrez la grande nouveauté hivernale : le Circuit des 5 Sommets. Sur le massif des Monts-Valin, l'accès à 5 nouveaux sommets vous permettra de profiter de certains des plus beaux coup d’œil sur la région et ses paysages. Profitez en pour découvrir l'ensemble du territoire, son hébergement sécuritaire, ses nombreux restaurants, bars et relais. Des vacances au Saguenay-Lac-Saint-Jean et c'est le
paradis de la motoneige c'est GÉANT.

Les Fêtes du 175e et les 175 bonnes raisons de la visiter le Saguenay-Lac-St-Lac
2013 marque un anniversaire important pour le Saguenay-Lac-Saint-Jean. Le 11 juin 2013, ça été les 175 ans que les premiers pionniers sont venus de Charlevoix pour s'installer à Grande-Baie. Tout au long de l'année, des festivités marqueront la région. Nous profitons pour jeter un regard sur le passé, le présent et l'avenir avec l'historien officiel de ces célébrations, Éric Tremblay, entrecoupé d'images historiques inédites et le Saguenay-Lac-Saint-Jean est une très grande région à découvrir. Pour vous faciliter la tâche, voici 175 très bonnes raisons de la visiter.

La Chanson du 175e du Saguenay-Lac St Jean
La chanson officielle des festivités du 175e du Saguenay-Lac-Saint-Jean "Des rêves à faire" interprétée par Mario Pelchat 

Axe routier 73/175 et son microclimat
Débuté en 2003, le réaménagement de l'axe routier 73/175 en une route à quatre voies et à deux chaussées séparées constitue sans aucun doute un des grands chantiers les plus marquants de l'ère moderne du Québec.

Pour les 300 000 personnes habitant la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, l'axe routier 73/175 constitue le principal lien avec la région de la Capitale-Nationale et le réseau autoroutier québécois. Au fil des ans, l'amélioration de cette route était devenue une nécessité pour les résidents, les touristes et les entreprises de la région.

L'équipe de MétéoMédia s'intéresse au Saguenay-Lac-Saint-Jean et nous fait honneur d'une visite le temps de quelques jours pour y enregistrer différentes capsules. Le reportage suivant dresse d'ailleurs un portrait descriptif du microclimat dont bénéficie la région. Le constat: moins de pluie en été et plus de neige en hiver! Ce n'est pas nous qui le disons! Cette vidéo est gracieuseté de l'équipe de Météo Média.

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